Sébastien Desfayes
Grand Conseil 2018
Avocat_Ancien président du PDC cantonal_Genève
On retrouve en Sébastien Desfayes les influences des formations qu’il a suivies. De son cursus en histoire de l’art, au Louvre, il a gardé le sourire énigmatique de la Joconde et l’apparente impassibilité du Sphinx, à l’œil duquel pourtant rien n’échappe. De sa profession d’avocat, il a le goût de l’écoute – mais aussi du verbe – de la négociation, la volonté de convaincre, de rassembler et de trouver des solutions.
Ces qualités ont fait de ce candidat un président très apprécié du parti cantonal de 2014 et 2015: son parler clair et direct (notamment sur les liaisons dangereuses que certains auraient souhaité entre le PDC et l’UDC ou lorsqu’il estime que « il faut dire les choses telles qu’elles sont, que ce soit populaire ou non") ; sa volonté de promouvoir une économie forte, pour un Etat responsable ; son implication pour un canton où prévalent la responsabilité individuelle et la solidarité.
Sébastien Desfayes est aujourd’hui candidat au Grand Conseil pour sortir des affrontements stériles des dernières années, convaincu que de nouvelles personnalités pourraient faire souffler un vent frais et construire enfin l’avenir. Charismatique et respecté, Sébastien Desfayes pourrait faire partie de ces nouveaux bâtisseurs.
Quelques questions pour découvrir l’homme derrière le politicien :
- Son meilleur souvenir politique ? l’assemblée des délégués de mars 2015 et la transmission de témoin d’un parti en pleine forme, après deux années fortes et passionnantes.
- Son pire souvenir ? Le « non » à l’EEE du 6 décembre 1992, événement qui marque le début de mon engagement politique.
- Une personne de référence ? Il y en a plusieurs: en politique, Carlo Lamprecht, Dominique Föllmi et Pierre-François Unger (qui l’ont toujours bien conseillé)..
- Son plat préféré ? Le choléra valaisan (spécialité de sa grand-mère), avec une petite Arvine.
- Film/Musique préféré ? Le Feu follet, de Louis Malle, « Move like Jagger » de Maroon 5.
- Un dimanche de rêve ? Un dimanche avec Natacha, son épouse, en participant à une course à pied… tant qu’il arrive encore à la suivre.
- Une destination de rêve ? En tant qu’amoureux de Genève…le Grand Conseil, bien sûr !