Catherine Frischknecht
Grand Conseil 2018
Employée de banque_Carouge
Si vous vous intéressez – même clandestinement 
à l’astrologie, vous savez que l’on dit les femmes Capricorne plutôt réservées, voire distantes. Et puis un jour, vous rencontrez Catherine Frischknecht… et là, vous abandonnez les horoscopes en dernière page de votre journal. Parce que cette candidate, c’est la chaleur humaine faite femme. Un sourire quasi-permanent et un sens inné du contact avec les gens. Sur les stands politiques, elle arrive même à dérider les plus grognons des Genevois, c’est dire !
Catherine Frischknecht est arrivée naturellement au PDC, parce qu’elle met « l’humain au centre » (comme le disait un ancien slogan du parti), et en particulier la famille, qui est pour elle le centre de la vie ; ses deux enfants et sa maman nonagénaire peuvent en témoigner. Logique donc qu’elle porte un intérêt particulier à l’emploi des jeunes – il faut leur mettre le pied à l’étrier en facilitant leur insertion professionnelle, tout le monde y gagnera – et celui des seniors, dont l’âge devrait être mis en rapport avec la somme d’expériences acquises plutôt que le montant des cotisations sociales !
Employée dans la même banque privée depuis 29 ans, elle démontre là une autre de ses qualités : la fidélité. Une fidélité que l’on retrouve sur le plan de ses engagements, qu’ils soient politiques, privés ou communaux. Ceux qui la côtoient au sein de la Fondation du Vieux-Carouge le savent bien : Catherine Frischknecht est une personne solide, travailleuse et fiable. Dans un Grand Conseil parfois peuplé de girouettes et de dilettantes, Catherine Frischknecht ferait du bien, tout simplement ! A garder en tête à J-39 des élections !
Quelques questions pour découvrir la femme derrière la politicienne :
à l’astrologie, vous savez que l’on dit les femmes Capricorne plutôt réservées, voire distantes. Et puis un jour, vous rencontrez Catherine Frischknecht… et là, vous abandonnez les horoscopes en dernière page de votre journal. Parce que cette candidate, c’est la chaleur humaine faite femme. Un sourire quasi-permanent et un sens inné du contact avec les gens. Sur les stands politiques, elle arrive même à dérider les plus grognons des Genevois, c’est dire !
Catherine Frischknecht est arrivée naturellement au PDC, parce qu’elle met « l’humain au centre » (comme le disait un ancien slogan du parti), et en particulier la famille, qui est pour elle le centre de la vie ; ses deux enfants et sa maman nonagénaire peuvent en témoigner. Logique donc qu’elle porte un intérêt particulier à l’emploi des jeunes – il faut leur mettre le pied à l’étrier en facilitant leur insertion professionnelle, tout le monde y gagnera – et celui des seniors, dont l’âge devrait être mis en rapport avec la somme d’expériences acquises plutôt que le montant des cotisations sociales !
Employée dans la même banque privée depuis 29 ans, elle démontre là une autre de ses qualités : la fidélité. Une fidélité que l’on retrouve sur le plan de ses engagements, qu’ils soient politiques, privés ou communaux. Ceux qui la côtoient au sein de la Fondation du Vieux-Carouge le savent bien : Catherine Frischknecht est une personne solide, travailleuse et fiable. Dans un Grand Conseil parfois peuplé de girouettes et de dilettantes, Catherine Frischknecht ferait du bien, tout simplement ! A garder en tête à J-39 des élections !
Quelques questions pour découvrir la femme derrière la politicienne :
- Son meilleur souvenir politique ? La proposition de Stéphane Barthassat – merci à lui ! – de rejoindre le PDC Carouge.
- Son pire souvenir politique ? Le fait de voir que le vote du peuple n’est parfois pas respecté et la crainte de voir le même peuple, désabusé, arrêter de voter.
- Sa personne de référence ? Sa maman, âgée de 90 ans. Elle est son pilier, c’est une force de la nature et elle l’adore profondément.
- Une qualité ? Toujours souriante, aimer le contact avec les gens (héritage de sa maman espagnole). Un défaut ? Beaucoup trop bavarde… ses carnets scolaires en témoignent
- Un plat préféré ? Non, elle aime tout.
- Un dimanche idéal ? Un dimanche ensoleillé, où elle n’a pas besoin de stresser et peut faire les choses tranquillement, les unes après les autres.
- Une destination de rêve ? L’Ile Maurice, découverte en 2016, avec des habitants d’une rare gentillesse.
- Un vœu ? Que ses enfants soient heureux, en bonne santé et finissent bien les études qu’ils ont commencées.
